Contrairement à ce qu’on prédisait il y a 20 ans, les baby-boomers ne quittent pas nécessairement les banlieues où ils ont vécu. Ils y restent mais leur milieu n’a pas été aménagé pour répondre aux besoins d'une population vieillissante : superficies habitables moins grandes, services accessibles à pied, milieu plus dense, etc. Selon Daniel Gill, les banlieues devront inévitablement se transformer.
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