Désuètes, désertées ou moins utiles, les vieilles granges tombent comme des mouches dans la campagne québécoise. Signe que l’agriculture a bien changé, le démantèlement de ces bâtiments témoigne aussi du manque de protection du patrimoine pour les amoureux des vieilles planches. Le Devoir est allé à la rencontre de leur passé — et de leur avenir.
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