Aux prises avec de graves problèmes de pollution, la ville de Paris a procédé, dans les dernières années, à des investissements massifs dans les transports collectifs et a multiplié les infrastructures cyclables aux quatre coins de la ville afin de réduire la place de la voiture. Une fois les transports alternatifs bonifiés, la municipalité a pu limiter la circulation automobile à certains endroits névralgiques. Gérard Beaudet estime que ce que Montréal pourrait tirer de cette expérience parisienne, c’est une volonté politique ferme.