Chaque année, plusieurs villes canadiennes sont menacées par diverses catastrophes naturelles, dont les inondations sont les plus courantes et aussi les plus coûteuses en raison des dommages causés et certaines adaptent leurs infrastructures.

Mais selon Isabelle Thomas, la préparation est inégale entre les villes et certaines ont de meilleures pratiques que d’autres et certaines comprennent mieux les risques et s’engagent dans des prises de position politiques. Pour Isabelle Thomas « […] il est vital de comprendre le dérèglement climatique et de responsabiliser le citoyen, […] il faut comprendre les territoires actuels pour travailler à leur métamorphose et développer plus de résilience à moyen et long terme. »

« Un autre élément, dit-elle, ce sont les retours d’expérience. Nous faisons équipe avec le ministère de la Sécurité publique et ça permet de comprendre où sont les défaillances pour les rectifier", dit-elle. L’idée est aussi d’éviter de construire davantage dans des zones à risque. Les sous-sols, par exemple, ne doivent pas être utilisés pour y vivre dans certaines régions urbaines", rappelle-t-elle. »

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