Dans un texte d’opinion, Gérard Beaudet craint « qu’en l’absence d’une reconnaissance explicite de l’opportunité exceptionnelle offerte par la fermeture de l’hôpital Royal-Victoria, la vente des terrains par le gouvernement québécois se traduise (…) par une accentuation de la privatisation des abords du parc de mont Royal et par la disparition d’une autre coulée verte. »
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