Selon Raphaël Fischler, le mégaprojet « est issu de la décision d'une seule municipalité (Mont-Royal) dont la population représente 1 % de celle de l'agglomération de Montréal et 0,5 % de celle de la Communauté métropolitaine, de changer la géographie urbaine à l'échelle métropolitaine. Cette situation va à l'encontre de la logique et des bonnes pratiques en matière de gestion du développement urbain, et dans une certaine mesure, en matière de démocratie. Le projet Royalmount est présenté par ses promoteurs comme une réponse à une demande à l'échelle régionale, voire métropolitaine. Il est donc logique que ce soient des élus qui œuvrent à cette échelle qui statuent, au nom de la communauté régionale ou métropolitaine, sur le bien-fondé de leur projet. »
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