Les promoteurs immobiliers revoient leurs espaces de façon à intégrer des espaces de travail dans les logements locatifs. Mais ces ajouts pourraient les inciter à augmenter leurs loyers en conséquence.
Pour Jean-Philippe Meloche, « Il faudra voir, quand la COVID ne sera plus une menace, combien de personnes vont être prêtes à payer davantage en loyer pour travailler de la maison […] Ça fait longtemps que les Montréalais veulent des logements plus gros. C’était déjà le cas avant la COVID-19. […] Or, il demeure plus rentable actuellement pour les promoteurs de construire des unités de petite taille. Le marché immobilier est tellement serré que les promoteurs n’ont pas besoin de construire des logements de trois chambres et plus ».
Tiré d’un article dans le Journal Metro de Montréal. Lire l’intégralité de l’article.