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/ Faculté de l’aménagement

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Maîtrise en conservation du patrimoine bâti

Perspectives d'emploi

Depuis sa création en 1987, le programme rayonne grâce à ces anciens étudiant(e)s qui œuvrent à la conservation du patrimoine de différentes manières, soit à l’emploi de firmes privées ou dans la fonction publique. La variété des profils et des parcours atteste de la diversité du patrimoine et des contributions requises pour le mettre en valeur et le transformer afin qu’il puisse continuer d’exister.

Découvrez les multiples facettes de la pratique en patrimoine :

Alexandra Lemarcis (promotion 2011)

Suite à l’obtention d’un baccalauréat en Design Architectural de l’Université de Montréal, j’ai poursuivi ma formation à la maîtrise en Conservation du patrimoine bâti. Je souhaitais me donner les moyens de favoriser l’intégration des composantes bâties existantes dans les projets d’architecture de plus grande ampleur. J’étais déjà convaincue que l’histoire et l’architecture existante étaient indispensables à la création et à la mise en valeur de milieux de vie plus riches et stimulants. Cette formation m’a donné les connaissances théoriques et pratiques pour la conservation de notre patrimoine tout en me donnant l’opportunité de me créer un réseau de contact par des stages (à la Direction de la conservation du patrimoine de Travaux publics et Services gouvernementaux du Canada et au Conseil du patrimoine de Montréal), ainsi que par des contrats de recherches avec Hydro-Québec et la Commission Scolaire de Montréal. Je suis aujourd’hui Conseillère Environnement – Expertise milieu humain à Hydro-Québec où je travaille à l’identification, la protection et la mise en valeur du patrimoine de l’entreprise.

Crédit @ A. Lemarcis

Félix Rousseau (promotion 2018)

Je me suis inscrit à la maîtrise en Conservation du patrimoine bâti après avoir complété un baccalauréat en urbanisme. Avec mon intérêt pour le patrimoine et pour l’urbain, j’ai choisi cette maîtrise pour en apprendre davantage sur les outils et les techniques pour préserver et mettre en valeur le patrimoine dans les villes. Cette formation m’a permis de me familiariser avec les notions théoriques du patrimoine tout en apprenant à les appliquer à des situations concrètes.

En tant qu’administrateur de programmes à l’Organisation des villes du patrimoine mondial (OVPM), je participe à la conception d’ateliers et de conférences où l’objectif est justement de sensibiliser les experts, fonctionnaires et élus des villes membres de l’organisation aux pratiques les plus actuelles, et ce, en conformité avec les recommandations et les chartes internationales sur le patrimoine.

Crédit @ F. Rousseau

 


Laure Émery (promotion 2012)

Souhaitant travailler dans le domaine de la conservation des monuments historiques en France, j’ai complété un baccalauréat en architecture puis un baccalauréat en histoire de l’art à Paris. C’est ensuite par hasard que j’ai découvert la maîtrise en conservation du patrimoine bâti de l’Université de Montréal, que j’ai rejoint en janvier 2010. Cette maîtrise a été le pont qui me manquait entre ma formation théorique au premier cycle et le métier que j’exerce aujourd’hui. Après quelques années à travailler à Montréal avec la Commission scolaire de Montréal, Héritage Montréal, l’Association québécoise pour le patrimoine industriel ou encore la Ville de Montréal, je vis et travaille désormais à Édimbourg en Écosse, où j’exerce le métier de consultante en patrimoine. C’est un métier riche et varié qui implique des visites de bâtiments de toutes les époques et de toutes les tailles, des recherches en archives, et un bon sens de la rédaction et des relations avec les clients.

Crédit @ L. Émery

Élyse Levasseur (promotion 2010)

Détentrice d’un baccalauréat en histoire, je recherchais une formation de 2e cycle axée davantage sur le pratique que la théorie. À la lecture de la description du programme de la maîtrise en Conservation du patrimoine bâti, je savais que cette formation répondrait pleinement à mes attentes. Grâce à cette formation multidisciplinaire qui permet d’acquérir des connaissances en architecture, en urbanisme et en architecture du paysage, j’ai pu rapidement travailler à la fin de mes études dans une firme de consultants en patrimoine, architecture et paysage. Depuis quelques années, je suis agente de développement du patrimoine à Culture Shawinigan. Ce poste me permet de travailler pleinement à ce que j’aspirais, c’est-à-dire veiller à la protection du patrimoine en créant une multitude de projets de sensibilisation destinés aux citoyens, aux jeunes ou aux élus.

Crédit @ É. Levasseur

Guillaume St-Jean (promotion 2013)

Avant d’entamer des études au second cycle, j’avais effectué un baccalauréat en urbanisme ainsi qu’une technique en architecture.

Depuis la fin de ma maîtrise, je suis devenu urbaniste membre de l’Ordre des urbanistes du Québec et j’œuvre depuis dans le milieu municipal. 

Dans le cadre de ma pratique, j’ai couramment l’occasion d’exercer un rôle d’expert-conseil dans le domaine de la conservation du patrimoine et j’interviens directement au niveau de son encadrement par la préparation d’études, la rédaction d’outils réglementaire favorisant sa protection, l’analyse de projets d’aménagement publics ou privés, etc.

Crédit @ G. St-Jean

 

 

 

Geneviève M. Senécal (promotion 2015)

Suite à l’obtention d’un baccalauréat intégré en sciences historiques et études patrimoniales de l’Université Laval au cours duquel je me suis découvert un fort intérêt pour l’histoire de l’architecture, j’ai voulu approfondir mes réflexions sur la conservation du patrimoine. La maîtrise en aménagement, option conservation du patrimoine bâti à l’Université de Montréal m’est apparue comme le meilleur programme de deuxième cycle pour y parvenir. Dans le cadre de cette formation, j’ai eu l’occasion de rencontrer de nombreux professionnels du domaine et de me bâtir un réseau de contacts. Ce dernier m’a bien servi puisque dès la fin de mes études, j’ai obtenu mon premier de contrat de travail dans un bureau d’architectes spécialisé en conservation. Près de cinq ans plus tard, le désir de me lancer de nouveaux défis m’amène à quitter la firme qui m’a offert ma première chance pour démarrer ma propre entreprise de consultation en patrimoine et recherches historiques.

Crédit @ G.M. Sénécal

Le programme s'adresse autant à des étudiants qu'à des professionnels. Il permet de bonifier la formation et l’expérience des candidats afin d’en faire à la fois des experts des questions de patrimoine, et des professionnels polyvalents, sensibilisés aux différentes disciplines de l'aménagement. Les titulaires d'une telle maîtrise seront appelés à travailler sur des projets de transformation de l’environnement bâti (recyclage, réhabilitation, restauration) comportant une ou des composante(s) patrimoniale(s) à l'échelle d'un bâtiment, d'un site ou d'un secteur. Les principaux employeurs seront :

  • Les bureaux d’architectes, d’architectes paysagistes et d’urbanistes
  • Les organismes divers dédiés à la conservation du patrimoine
  • Le domaine de la consultation professionnelle
  • Les gouvernements municipaux, provinciaux et fédéral
  • Les institutions d’enseignement et de recherche